

Fouler le sol du camp de transit belge, d'où 26.000 personnes ont été déportées vers l'Allemagne donne une autre dimension au travail de mémoire, le rend "plus réel". D'autant plus que, sur les murs du lieu, les photos des victimes regardent les visiteurs et personnifient les récits historiques.
La visite guidée à permis de jeter, aussi, des ponts avec des drames contemporains et les concepts vus en classe en cours de sciences sociales et lors des animations sur la propagande. Les élèves y ont aussi retrouvé avec plaisir Gisèle Flashs, rescapée de la Shoah et fil rouge du projet.
Le projet, porté par Nadège Vandamme et Adélaïde Sanok pour l'IESPP, et Jérôme Caudron pour l'EDF, se prolongera l'an prochain.
*Avec la contribution d'Elena de 4eTQ D pour le reportage photos
