Ils nous ont permis de garder le contact pendant le confinement. Avec le télétravail, ils ont dû sécuriser nos réseaux, ils nous ont proposé des applications nouvelles, des plateformes pédagogiques ou de vente en ligne, des systèmes de visio-conférence…
Les informaticiens du confinement n’ont pas chômé. Ceux de demain continueront à déployer créativité et énergie pour répondre aux besoins du moment. Et comme les enfants naissent une tablette à la main… Les études d’informatique resteront une valeur sûre.
«C’est un métier sans cesse en pénurie», affirme Patrice Antoine, directeur de l’école de promotion sociale d’Ecaussinnes, chez qui un bac en informatique est organisé en cours du soir.
«Nos étudiants sont majoritairement des personnes qui ont déjà un emploi et qui visent l'obtention d'un diplôme supérieur en cours du soir. On travaille en E-campus. Le diplôme obtenu équivaut au plein exercice et est reconnu dans toute l'Union Européenne. Avec des droits d'inscription "plancher" (inscription gratuite pour les demandeurs d'emplois), c'est réellement un enseignement supérieur économique de type court compétitif. La section comporte un total de 2160 périodes de cours équivalant à 180 ECTS.».